Au début le vide, le silence. Je respire, le coeur ouvert et rempli d’amour. J’écoute son chant, sa mélodie. De ce dialogue naissent mes oeuvres.
Le bois : je le caresse, le sens, le respire, pour nous unir le temps d’une création. La sculpture prend forme, se transforme. Je creuse, coupe, ponce, les veines apparaissent à la surface. Le bois vit, doux et chaud et porte en lui la mémoire de l’arbre qu’il fut. Au travers de mes sculptures, il peut continuer à être, à nous transmettre sa douceur et son histoire.
Le grès: cette terre humide, froide et molle prend forme entre mes mains. Je la malaxe, l’écrase, la roule, l’assemble, laisse le vide habiter la matière. Le souffle de la nature vit en elle et vibre en moi.
Les cheveux : les cheveux me permettent de créer des sculptures éphémères qui se transforment seules, en symbiose avec leur support et le milieu qui les entoure Elles sont en mouvement constant et elles évoluent dans le temps.
La Matière
Au début le vide, le silence. Je respire, le coeur ouvert et rempli d’amour. J’écoute son chant, sa mélodie. De ce dialogue naissent mes oeuvres.
Le bois : je le caresse, le sens, le respire, pour nous unir le temps d’une création. La sculpture prend forme, se transforme. Je creuse, coupe, ponce, les veines apparaissent à la surface. Le bois vit, doux et chaud et porte en lui la mémoire de l’arbre qu’il fut. Au travers de mes sculptures, il peut continuer à être, à nous transmettre sa douceur et son histoire.
Le grès: cette terre humide, froide et molle prend forme entre mes mains. Je la malaxe, l’écrase, la roule, l’assemble, laisse le vide habiter la matière. Le souffle de la nature vit en elle et vibre en moi.
Les cheveux : les cheveux me permettent de créer des sculptures éphémères qui se transforment seules, en symbiose avec leur support et le milieu qui les entoure Elles sont en mouvement constant et elles évoluent dans le temps.